Janvier 2012 - Mouvement national pour la libération de l'Azawad, organisation de touareg, souhaite l'indépendance de son pays.
PARIS. Des «exécutions sommaires», peut-être «une centaine», ont été
perpétrées dans la ville d’Aguelhok, au nord-est du Mali, lors de l’offensive
des rebelles touareg, a affirmé, lundi 13 février, le ministre français
de la coopération, Henri de Raincourt, interrogé sur RFI. «Il y a eu effectivement
des violences absolument atroces et inadmissibles (…) des soldats,
des personnes – on parle d’une centaine –, qui ont été capturés et
ont été froidement exécutés», a déclaré M.de Raincourt. – (AFP.)
21 mars, coup d'état. Des soldats révoltés attaquent le gouvernement. Ils ont prit le pouvoir car ils manquaient d'arme et souhaite repousser les touaregs bien plus efficacement.
La cédéao menace les putchistes d'une action armée.
Les putchistes doivent rentre le pouvoirs, ils sont aux abois. Les rebelles avancent dans le nord.
La junte militaire rend le pouvoir aux civils le 6 avril
Amadou Toumani, dimanche 8 avril, il a annoncé sa démission du pouvoir malien. Il faut qu'il y ait un retour à la normale à Bamako. C'est CEDEAO qui lui demandait la démission.
Reste à régler le problème du nord du pays sous les mains des rebelles touaregs.
Les touaregs ont désormais pratiqué un état touareg libre dans le nord du Mali.