Sécuritas mandatée par Nestlé pour espionner les militants d'Attac. Procès le 25 janvier.
Révélée en 2008 par la Télévision suisse romande, l’affaire avait abouti, en 2009, à un non-lieu au
pénal. Il aura fallu toute l’énergie de neuf plaignants d’Attac, qui réclament 27000francs suisses de
dommages (22 352 euros), pour « tort moral », pour qu’elle soit jugée au civil.