lundi 23 janvier 2012

Plan de la ligue arabe pour la Syrie.

La ligue arabe, c’est quoi ?

La Ligue arabe, officiellement la Ligue des États arabes , est une organisation régionale à statut d’observateur auprès de l’Organisation des Nations unies. Elle fut fondée le 22 mars 1945 au Caire, par sept pays et compte aujourd’hui vingt-deux États membres.


Fondé par la République d’Égypte, la République d’Irak, la République libanaise, le Royaume d’Arabie saoudite, la République arabe syrienne, l’Emirat de Transjordanie, le Yémen (Yémen du Nord) avec par les suites des add- on  Libye (1953) Soudan (1956) Maroc (1958) Tunisie (1958) Koweït (1961) Algérie (1962) Bahreïn (1971) Qatar (1971) Émirats arabes unis (1971) Oman (1971) Mauritanie (1973) Somalie (1974) Autorité palestinienne (1976) Djibouti (1977) Comores (1993).


Qu’est ce que les observateurs en Syrie ?

Le plan

Dimanche 22 janvier, au Caire. Les ministres des affaires étrangères de la ligue arabe. Appel au président à transférer ses pouvoirs au vice président sunnite. Le président doit s’effacer pour permettre un dialogue.

Un départ pacifique du gouverment.

Et ?

Lundi, 23 janvier, le gouvernement Syrien rejette la proposition de la ligue arabe. L’histoire va donc devant l’ONU.
Du mardi 27 au jeudi 29 mars, sommet de la ligue arabe à Bagdad. Zone verte est zone sécuritée de 15 kilomètres. Premier sommet depuis le début du printemps arabe.


Onu et la syrie


Le Conseil de Sécurité de l'ONU se réunira, vendredi 27 janvier dans l'après-midi, pour discuter de la situation en Syrie, ont annoncé jeudi des diplomates. Cette réunion, non prévue initialement, se tiendra à partir de 15 heures, heure locale, a précisé la représentation française à l'ONU sur son compte Twitter. "Un projet de résolution sur la Syrie pourrait être distribuée" à cette occasion aux quinze membres du Conseil, a indiqué un diplomate d'un pays membre du Conseil.

La ligue arabe appelle a soutenir l'opposition

EUROPE et Syrie
Le 29 février, l'europe ne sait plus quelle menace appliquer.
Lundi 27février,àBruxelles, les ministres des affaires étrangères ont, comme prévu, adopté un nouveau train de mesures – le douzième du genre–pour tenter d’assécher les moyens de financement de Damas. Après avoir visé le secteur industriel, le pétrole ou les ventes d’armes, les Vingt-Sept ont décidé de geler les avoirs de la banque centrale syrienne en Europe, et de prononcer une interdiction du commercedes métaux précieux, dont l’or. L’embargo sur les importations de phosphates, un moment cité comme une autre sanction possible, ne figure pas dans les conclusions de lundi.